

Le projet bioSCODE cherche à déterminer s’il est possible de prédire l’évolution d’une pathologie comme la maladie d’Alzheimer en comparant les caractéristiques cliniques de personnes souffrant d’un déclin cognitif subjectif, c’est-à-dire qui ont la sensation d’avoir des troubles du raisonnement, de la mémoire, du langage, des volontaires sains et saines et des patientes et patients ayant réellement des troubles cognitifs.




L’étude MEMSTIM vise à déterminer si la stimulation cérébrale à courant alternatif non invasive (tACS) peut améliorer la mémoire chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger.
Cette stimulation se fait grâce à un casque souple muni de petites électrodes. Cet appareil, au contact du cuir chevelu, diffuse un faible courant électrique qui provoque une activité des neurones quasi imperceptible.



L'étude vise à évaluer l'efficacité et la sécurité d'un médicament afin de déterminer s'il peut retarder, au stade précoce, la progression des symptômes liés à la maladie d'Alzheimer.



Le Centre de la mémoire des HUG participe à l’essai clinique international cAPPricorn-1. Ce dernier évalue un médicament expérimental appelé « mivelsiran » afin de déterminer sa sécurité d’emploi et son efficacité pour ralentir la progression de l’angiopathie amyloïde cérébrale (AAC).
