

Le projet bioSCODE cherche à déterminer s’il est possible de prédire l’évolution d’une pathologie comme la maladie d’Alzheimer en comparant les caractéristiques cliniques de personnes souffrant d’un déclin cognitif subjectif, c’est-à-dire qui ont la sensation d’avoir des troubles du raisonnement, de la mémoire, du langage, des volontaires sains et saines et des patientes et patients ayant réellement des troubles cognitifs.




L’étude MEMSTIM vise à déterminer si la stimulation cérébrale à courant alternatif non invasive (tACS) peut améliorer la mémoire chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger.
Cette stimulation se fait grâce à un casque souple muni de petites électrodes. Cet appareil, au contact du cuir chevelu, diffuse un faible courant électrique qui provoque une activité des neurones quasi imperceptible.



L'étude vise à évaluer l'efficacité et la sécurité d'un médicament afin de déterminer s'il peut retarder, au stade précoce, la progression des symptômes liés à la maladie d'Alzheimer.



Le Centre de la mémoire des HUG participe à l’essai clinique international cAPPricorn-1. Ce dernier évalue un médicament expérimental appelé « mivelsiran » afin de déterminer sa sécurité d’emploi et son efficacité pour ralentir la progression de l’angiopathie amyloïde cérébrale (AAC).



L’objectif de cette étude est d’étendre et de développer une ligne de recherche qui utilise le sommeil comme une “ fenêtre sur le cerveau“. Autrement dit, il s’agit d’étudier l’intrication entre sommeil et cerveau et d’évaluer l’influence de la qualité du sommeil profond sur l’amélioration de l’humeur. Plus précisément, nous souhaitons tester l’influence de sons diffusés pendant le sommeil profond à l’aide d’écouteurs sur la qualité du sommeil et l’humeur. En particulier, ce projet est conçu pour évaluer la faisabilité, l’efficacité et les mécanismes d’action d’une nouvelle méthode de traitement basée sur le sommeil avec un effet antidépresseur potentiellement rapide.



Le Service de neurorééducation mène une étude sur les effets de la stimulation électrique transcrânienne par courant direct (tDCS) pour aider les personnes ayant des troubles du langage persistants à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC).



But de l’étude : Déterminer si le jeûne intermittent permet, aux femmes ménopausées en surpoids ou en situation d’obésité, de ralentir la prise de poids ou de masse grasse, d’améliorer les symptômes liés à la ménopause et la santé osseuse.



Le Service de neurorééducation cherche à voir si les trajectoires de rétablissement après un AVC sont les mêmes pour l’ensemble des patients et patientes et s’il est possible de les anticiper.



Cette étude vise à comprendre les différences de réponses immunitaires entre les régions touchées et à comparer ces réponses avec celles d’individus sains vaccinés contre le HPV. En d’autres termes, il s’agit de comparer le profil des lymphocytes T spécifiques à l’HPV dans la vaccination et dans les lésions liées au HPV.




L’étude EASE (brEAst Stereo Elderly) menée par le Service de radio-oncologie étudie l’utilisation de la radiothérapie stéréotaxique pour le cancer du sein chez les patientes âgées comme une alternative à la chirurgie.
Cette étude a été développée en partenariat avec le Réseau cancer du sein de l’Association savoir patient, ASAP et inclut une patiente partenaire des HUG.
