

Pour mieux comprendre les impacts du Covid-19 sur la population, l’Unité d’épidémiologie populationnelle (UEP) du Service de médecine de premier recours (SMPR) a mis en place un suivi longitudinal des personnes participant aux études de séroprévalence sur la plateforme Specchio-COVID19. Cette plateforme évolutive rend possible l’inclusion de nouveaux participants au cours du temps et le développement de nouveaux questionnaires en ligne, pour répondre à des questions de recherche spécifiques. La cohorte se construit depuis 2020 et comprend actuellement plus de 10’000 adultes.



Le Service de neurorééducation cherche à voir si les trajectoires de rétablissement après un AVC sont les mêmes pour l’ensemble des patients et patientes et s’il est possible de les anticiper.



Cette étude vise à comprendre les différences de réponses immunitaires entre les régions touchées et à comparer ces réponses avec celles d’individus sains vaccinés contre le HPV. En d’autres termes, il s’agit de comparer le profil des lymphocytes T spécifiques à l’HPV dans la vaccination et dans les lésions liées au HPV.




L’étude EASE (brEAst Stereo Elderly) menée par le Service de radio-oncologie étudie l’utilisation de la radiothérapie stéréotaxique pour le cancer du sein chez les patientes âgées comme une alternative à la chirurgie.
Cette étude a été développée en partenariat avec le Réseau cancer du sein de l’Association savoir patient, ASAP et inclut une patiente partenaire des HUG.



Créer un registre de femmes en contact avec le virus SARS-CoV 2 pendant leur grossesse (testées ou vaccinées) pour évaluer l’impact du virus ou de la vaccination sur la grossesse, la santé des mères et de leur nouveau-né.



Cette étude permettra d’optimiser le suivi et la prise en charge pendant la grossesse, l’accouchement et après la naissance des femmes en surpoids ou atteinte d'obésité pendant leur grossesse. L'objectif est de diminuer l’impact de l’obésité maternelle durant la grossesse sur la santé de la mère et du nouveau-né à venir.




L’étude MEMSTIM vise à déterminer si la stimulation cérébrale à courant alternatif non invasive (tACS) peut améliorer la mémoire chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger.
Cette stimulation se fait grâce à un casque souple muni de petites électrodes. Cet appareil, au contact du cuir chevelu, diffuse un faible courant électrique qui provoque une activité des neurones quasi imperceptible.
