
L’arthrose du compartiment féméro-patellaire (situé à l’avant du genou) est fréquente, affectant 39 % des personnes de plus de 30 ans souffrant de douleurs dans cette zone. Une méthode prometteuse consiste à prélever des cellules du cartilage nasal pour les implanter dans le genou, ce qui pourrait offrir une alternative aux traitements habituels.



Cette étude vise à mieux comprendre la réponse immunitaire locale dans la muqueuse nasale, point d’entrée du pneumocoque, afin de distinguer pourquoi certaines personnes développent une pneumonie et d’autres non.



Le projet bioSCODE cherche à déterminer s’il est possible de prédire l’évolution d’une pathologie comme la maladie d’Alzheimer en comparant les caractéristiques cliniques de personnes souffrant d’un déclin cognitif subjectif, c’est-à-dire qui ont la sensation d’avoir des troubles du raisonnement, de la mémoire, du langage, des volontaires sains et saines et des patientes et patients ayant réellement des troubles cognitifs.




L’étude MEMSTIM vise à déterminer si la stimulation cérébrale à courant alternatif non invasive (tACS) peut améliorer la mémoire chez les personnes âgées ayant un déficit cognitif léger.
Cette stimulation se fait grâce à un casque souple muni de petites électrodes. Cet appareil, au contact du cuir chevelu, diffuse un faible courant électrique qui provoque une activité des neurones quasi imperceptible.



L'étude vise à évaluer l'efficacité et la sécurité d'un médicament afin de déterminer s'il peut retarder, au stade précoce, la progression des symptômes liés à la maladie d'Alzheimer.



Le Centre de la mémoire des HUG participe à l’essai clinique international cAPPricorn-1. Ce dernier évalue un médicament expérimental appelé « mivelsiran » afin de déterminer sa sécurité d’emploi et son efficacité pour ralentir la progression de l’angiopathie amyloïde cérébrale (AAC).



L’objectif de cette étude est d’étendre et de développer une ligne de recherche qui utilise le sommeil comme une “ fenêtre sur le cerveau“. Autrement dit, il s’agit d’étudier l’intrication entre sommeil et cerveau et d’évaluer l’influence de la qualité du sommeil profond sur l’amélioration de l’humeur. Plus précisément, nous souhaitons tester l’influence de sons diffusés pendant le sommeil profond à l’aide d’écouteurs sur la qualité du sommeil et l’humeur. En particulier, ce projet est conçu pour évaluer la faisabilité, l’efficacité et les mécanismes d’action d’une nouvelle méthode de traitement basée sur le sommeil avec un effet antidépresseur potentiellement rapide.



Le Service de neurorééducation mène une étude sur les effets de la stimulation électrique transcrânienne par courant direct (tDCS) pour aider les personnes ayant des troubles du langage persistants à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC).



But de l’étude : Déterminer si le jeûne intermittent permet, aux femmes ménopausées en surpoids ou en situation d’obésité, de ralentir la prise de poids ou de masse grasse, d’améliorer les symptômes liés à la ménopause et la santé osseuse.
