But de l’étude : Déterminer si le jeûne intermittent permet, aux femmes ménopausées en surpoids ou en situation d’obésité, de ralentir la prise de poids ou de masse grasse, d’améliorer les symptômes liés à la ménopause et la santé osseuse.
Optimisation de la thérapie nutritionnelle et de la physiothérapie précoce chez les patients longs séjours des SIA
Etude rétrospective qui vise à étudier le lien entre la masse musculaire et le pronostique des patients aux soins intensifs, notamment la mortalité.
La perte de poids et de masse musculaire souvent observées dans le cancer du pancréas (cachexie) influencent la réponse au traitement. Les bactéries intestinales (microbiote) pourraient jouer un rôle dans la survenue de la cachexie.
Un nouvel outil de conseil pour la gestion nutritionnelle et de l'insulinothérapie en soins intensifs : étude contrôlée randomisée
L’étude vise à explorer l’influence du travail de nuit sur le métabolisme, les horloges biologiques internes, les rythmes d’alimentation, d’activité physique et de sommeil, le bien-être et l’attention.
Cette étude permettra d’optimiser le suivi et la prise en charge pendant la grossesse, l’accouchement et après la naissance des femmes en surpoids ou atteinte d'obésité pendant leur grossesse. L'objectif est de diminuer l’impact de l’obésité maternelle durant la grossesse sur la santé de la mère et du nouveau-né à venir.
Dans le cadre d'une étude clinique, l'Unité de nutrition des HUG souhaite déterminer si une alimentation à heures fixes permet chez les personnes "lève-tôt" une perte de masse grasse.
Existe-t-il des structures cérébrales et des modes de pensée susceptibles d’augmenter le risque de développer un trouble du comportement alimentaire, comme l’anorexie mentale, la boulimie ou les compulsions alimentaires ?
