

L’objectif de cette étude est d’étendre et de développer une ligne de recherche qui utilise le sommeil comme une “ fenêtre sur le cerveau“. Autrement dit, il s’agit d’étudier l’intrication entre sommeil et cerveau et d’évaluer l’influence de la qualité du sommeil profond sur l’amélioration de l’humeur. Plus précisément, nous souhaitons tester l’influence de sons diffusés pendant le sommeil profond à l’aide d’écouteurs sur la qualité du sommeil et l’humeur. En particulier, ce projet est conçu pour évaluer la faisabilité, l’efficacité et les mécanismes d’action d’une nouvelle méthode de traitement basée sur le sommeil avec un effet antidépresseur potentiellement rapide.



Le Service de neurorééducation mène une étude sur les effets de la stimulation électrique transcrânienne par courant direct (tDCS) pour aider les personnes ayant des troubles du langage persistants à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC).



But de l’étude : Déterminer si le jeûne intermittent permet, aux femmes ménopausées en surpoids ou en situation d’obésité, de ralentir la prise de poids ou de masse grasse, d’améliorer les symptômes liés à la ménopause et la santé osseuse.



Notre hypothèse est que l’utilisation précoce du facteur de coagulation XIII (sous forme de perfusion courte), aiderait à réduire la perte de sang lors d’une hémorragie à l'accouchement et donc à éviter efficacement les complications liées.



L'objectif principal de notre étude est de déterminer lors d’un déclenchement de l’accouchement l'efficacité d'une solution saline chauffée dans le ballonnet transcervical mis en place lors de la phase de maturation du col de l’utérus sur la durée de cette maturation cervicale (le temps écoulé entre l'insertion et l'expulsion ou le retrait artificiel du ballonnet).



En Suisse, les maladies non transmissibles sont responsables de plus de 50% des décès prématurés, c’est-à-dire ayant lieu avant l’âge moyen de décès. Toutes les tranches d’âges et toutes les régions sont touchées par les maladies non transmissibles.



Les conséquences de la pandémie de COVID-19 sur les enfants, les adolescentes et les adolescents sont encore peu connues. Or, leur santé peut avoir été directement affectée en raison d’une infection par le SARS-CoV-2 (virus responsable de la maladie COVID-19), avec des complications possibles comme le COVID long (séquelles à long terme pouvant être engendrées par la maladie). Sur la durée, la pandémie peut avoir indirectement altéré d'autres dimensions de leur santé, qu'il y ait eu contact ou non avec le virus.



Pour mieux comprendre les impacts du Covid-19 sur la population, l’Unité d’épidémiologie populationnelle (UEP) du Service de médecine de premier recours (SMPR) a mis en place un suivi longitudinal des personnes participant aux études de séroprévalence sur la plateforme Specchio-COVID19. Cette plateforme évolutive rend possible l’inclusion de nouveaux participants au cours du temps et le développement de nouveaux questionnaires en ligne, pour répondre à des questions de recherche spécifiques. La cohorte se construit depuis 2020 et comprend actuellement plus de 10’000 adultes.
