

Les conséquences de la pandémie de COVID-19 sur les enfants, les adolescentes et les adolescents sont encore peu connues. Or, leur santé peut avoir été directement affectée en raison d’une infection par le SARS-CoV-2 (virus responsable de la maladie COVID-19), avec des complications possibles comme le COVID long (séquelles à long terme pouvant être engendrées par la maladie). Sur la durée, la pandémie peut avoir indirectement altéré d'autres dimensions de leur santé, qu'il y ait eu contact ou non avec le virus.



Dans le cadre d’une étude sur la schizophrénie, le Service de psychiatrie adulte recherche des volontaires de sexe masculin âgés de 30 à 60 ans ne souffrant d’aucun trouble psychique.



Dans le cadre de l’étude LutreUP, le CHUV et les HUG cherchent des femmes avec une trisomie 21, âgées entre 20 et 50 ans.
Les participants reçoivent une hormone, le GnRH, déjà produite par le cerveau, qui pourrait améliorer leur mémoire et leur concentration.



Créer un registre de femmes en contact avec le virus SARS-CoV 2 pendant leur grossesse (testées ou vaccinées) pour évaluer l’impact du virus ou de la vaccination sur la grossesse, la santé des mères et de leur nouveau-né.



Sur la base de tests de provocation orale standardisés, il 'agit d'identifier chez quels patients allergiques aux noix, une éviction partielle ou complète de toutes des sortes de noix (définies comme l’arachide, les noix d’arbres, les pignons et le sésame) doit être appliquée.
