

Existe-t-il des structures cérébrales et des modes de pensée susceptibles d’augmenter le risque de développer un trouble du comportement alimentaire, comme l’anorexie mentale, la boulimie ou les compulsions alimentaires ?



L'hystérectomie vaginale a prouvé sa supériorité et devrait être préférée à l'hystérectomie abdominale ouverte pour son taux plus faible de douleur et de complications, sa durée d'intervention plus courte et son temps de récupération plus court. Cependant, nous notons un manque de littérature médicale et aucun essai contrôlé randomisé spécifique évaluant la fonction sexuelle des femmes après vNOTES pour une chirurgie annexielle bénigne.



Dans le cadre d’une étude clinique sur la capacité humaine à reconnaître des images, le Service de neurorééducation recherche des volontaires afin de déterminer si l'activité cérébrale évoquée par une image, lorsque nous la voyons pour la première fois, est similaire à celle évoquée par la même image le lendemain.



Dans le cadre d’une étude sur la schizophrénie, le Service de la psychiatrie adulte, en collaboration avec l’Université de Genève, recherche des sujets masculins, sans troubles mentaux ayant entre 30 et 60 ans. Le but de ce projet est de mieux comprendre comment le cerveau analyse notre environnement.



Pour mieux comprendre les impacts du Covid-19 sur la population, l’Unité d’épidémiologie populationnelle (UEP) du Service de médecine de premier recours (SMPR) a mis en place un suivi longitudinal des personnes participant aux études de séroprévalence sur la plateforme Specchio-COVID19. Cette plateforme évolutive rend possible l’inclusion de nouveaux participants au cours du temps et le développement de nouveaux questionnaires en ligne, pour répondre à des questions de recherche spécifiques. La cohorte se construit depuis 2020 et comprend actuellement plus de 10’000 adultes.
