Etude rétrospective qui vise à étudier le lien entre la masse musculaire et le pronostique des patients aux soins intensifs, notamment la mortalité.

Cette étude vise à déterminer si les patients pédiatriques atteints d’une maladie chronique du foie (CLD chronic liver disease), y compris d’une maladie auto-immune du foie et après une transplantation hépatique, présentent des réponses immunitaires humorales après la vaccination contre le SARS-CoV-2 comparativement aux enfants témoins pédiatriques en bonne santé ou aux enfants après une transplantation rénale ou pulmonaire.

Dans le cadre d’une étude sur l'immunité contre le SARS-CoV-2 et la grippe, le Département de médecine de l’Université de Genève recherche des adultes ayant entre 18 et 60 ans résidant, travaillant ou étudiant dans le canton de Genève.

 Avec ce projet, nous avons voulu étudier quels facteurs conduisent à un risque accru de progression  sévère chez les patients avec Covid-19 dans les unités de soins intensifs

L'étude vise à évaluer l'efficacité et la sécurité d'un médicament afin de déterminer s'il peut retarder, au stade précoce, la progression des symptômes liés à la maladie d'Alzheimer.

Dans le cadre d’une étude sur la schizophrénie, le Service de la psychiatrie adulte, en collaboration avec l’Université de Genève, recherche des sujets masculins, sans troubles mentaux ayant entre 30 et 60 ans. Le but de ce projet est de mieux comprendre comment le cerveau analyse notre environnement.

L’étude REPAS vise à comprendre le rôle des émotions et des perceptions sensorielles dans l’alimentation sélective ou « évitante » chez les enfants âgés de 4 à 7 ans.

La candidose ou mycose vulvo-vaginale est une infection liée à la prolifération d’un champignon, Candida albicans. Elle se caractérise par des signes typiques comme des démangeaisons ou douleurs vaginales, douleurs pendant les rapports sexuels, douleur ou inconfort pendant la miction (action d’uriner), pertes vaginales anormales, rougeurs, gonflements et fissures dans la paroi vaginale.

Maintenir une activité physique adaptée pendant et après le traitement d’un cancer améliore la qualité de vie. Pour en mesurer l’impact, le Département d’oncologie évalue les effets d’une pratique régulière parmi les personnes inscrites au Programme activités physiques et cancer.